Comme cette tendance est générale, il est donc normal que la force collective ne nous pousse pas à voir ce qui est derrière nos voiles. La science moderne avec ses découvertes spectaculaires a renforcé notre scepticisme. Beaucoup ont perdu la foi et donnent à ce qui est invisible une valeur de fantaisie, d'illusion ou de quelque chose en dehors d’une réalité que nous pouvons atteindre. Mais la science elle-même est en train de prouver qu'il y a une réalité au-dessus des frontières de ses recherches. Elle est près de la rencontre avec le divin.
SITE INTERACTIF POUR EXPRIMER LA REALISATION DE LA FORCE ROYALE DANS LA VIE: L'AMOUR INCONDITIONNEL
Elle vient visible par la fraternité universelle et sa concrétisation dans la paix.
Elle se réalise par un état de croissance continue de solidarité, en concret: par la création de relations autentiques, libres et créatives entre nous.
Cet état va au-delà de toutes les étiquettes et organisations qui peuvent nous séparer par leurs visions, aussi valables qu'elles soient.
Elle implique de valoriser tout dans la perfection de l'ensemble.
C'est un travail dynamique de synthèse.
jeudi 27 octobre 2011
Le retour du Christ cosmique partie 1 "Qui est le Christ"
Comme cette tendance est générale, il est donc normal que la force collective ne nous pousse pas à voir ce qui est derrière nos voiles. La science moderne avec ses découvertes spectaculaires a renforcé notre scepticisme. Beaucoup ont perdu la foi et donnent à ce qui est invisible une valeur de fantaisie, d'illusion ou de quelque chose en dehors d’une réalité que nous pouvons atteindre. Mais la science elle-même est en train de prouver qu'il y a une réalité au-dessus des frontières de ses recherches. Elle est près de la rencontre avec le divin.
vendredi 21 octobre 2011
Partie 2/2 Les fondements de la tolérance
Nous avons besoin de compartir ou partager (synchronisation). Comme principe de base de l'interactivité cela signifie que nous faisons l’échange entre deux parties, maîtrisant l’estime de soi mutuellement, sachant les limites et les excès de soi-même pour venir à la hauteur de l'autre. L'égalité est effectivement respecter l’autre au-dessus de toute limitation de facto, de désir, d'opinion ou de conscience. C’est la première expression concrète de l'amour inconditionnel.
En cas de domination d'une personnalité à l'autre. Qui faire ? Faire la distance appropriée afin de ne pas être soumis, montrant, selon ses capacités et conscience, le chemin de l’enrichissement collective. Le partage est la base de la véritable abondance. En effet, l'abondance est une qualité collective. La satisfaction est seulement individuelle temporaire et limitée et conduit à l'intolérance par ce qui manque aux autres et il manque toujours quelque chose à soi-même..
Cela nécessite la convivience (synchrones). L'interactivité, pour être vraie, suppose la confrontation de la libre expression des deux parties, maîtrisant nos émotions. En effet, la liberté d'expression n'est pas n’importe quoi. La liberté est toujours fonction d'harmonie de l'interactivité au sein d'une situation donnée.
En cas d'imposition de ses désirs à l'autre il y a la violence et viol. C'est une soumission de la sensibilité de l’autre qui coupe l’interactivité et bloque la tolérance. Garder sa propre liberté est essentiel pour garder l’estime de soi. Marquer et afficher la juste distance est la façon appropriée pour développer la tolérance et la liberté dans le monde. La liberté est finalement aussi une qualité collective et dépend de chacun. La convivience n’est pas libre sans absence de violence ou d’imposition. La convivience en liberté est la première étape dans la réalisation de l'amour inconditionnel. L'intolérance provoque l'envie ou la jalousie de l'autre et enlève la joie. La joie est une preuve de la juste distance.
Cela nécessite la coopération (synergie).Sans entrer dans la confrontation interactive nous ne faisons pas les expériences nécessaires pour apprendre les valeurs exactes de nos perceptions. En leur mettant dans l’interactivité de l'ensemble, nous pouvons les ajuster, relativisant nos exagérations ou sous-estimations.
En cas de fixation de ses propres convictions (l'égoïsme) comme plus valables à celles de autres nous provoquons des conflits. C'est le problème de la dualité du maître qui n'accepte pas d'être en même temps disciple. La perfection est une forme de réalisation dans un temps infini pendant que le propre des conditions humaines est de passer dans un temps linéaire. Il faut donc beaucoup de patience, d'humilité et d’incarnations pour passer de l'un à l'autre. La meilleure solution quand nous sommes confrontés avec ces fixations est de montrer une attitude plus désintéressée en rapport de l’ensemble (une expression de fraternité et de paix). La résistance de l'autre atteindra finalement une auto-solution.
Cela nécessite une attitude permanente d'inviter l'autre à entrer dans une dynamique d’interactivité participative de communication, comme le fait notre cœur. Il s’agit de d’indiquer le chemin qui transcende les oppositions et les conflits. C'est le chemin solidaire du consensus qui consiste à créer une dynamique au-dessus des limites habituelles de notre vision.
Souvent, nous sommes confrontés avec la généralisation ou l’aveuglement d’une vision (exclusivité égoïste et monopole) valable pour tous. Sa base peut toujours être réduite à la peur, le manque d'expériences de l'amour, de confiance, de connaissance ... La meilleure réaction est de montrer de la compassion et du pardon. Cela suppose de comprendre les causes des fixations pour pouvoir créer un environnement plus ouvert. En concret c’est de montrer de la véritable confiance, de l'amour inconditionnel et d'enseigner dès de sa propre expérience et non dès des théories, mais basé sur des expériences concrètes.
La création d’un consensus passe premièrement par des actes concrets du cœur et non par la proposition d’idéaux visionnaires, si spirituels qu’ils soient. La compassion c’est venir à la hauteur de l'autre et permettre l'interactivité. Ce n'est pas une attitude passive de souffrir avec l'autre, mais active, qui fait appel au pardon. C’est remettre les erreurs dans le juste cadre d’une expression utile pour éclairer le sens de l’harmonie de la vie. Elle demande de la miséricorde ou la guérison de la cause de la disharmonie.
L'énergie de la tolérance est basée sur trois aspects essentiels qui motivent les aspects basiques:
5. L'intention de croître dans la vérité. Nous ne pouvons pas grandir sans des expériences dans lesquelles nous démontrons et testons notre potentiel, les talents ou le génie de notre âme. Chacun a un potentiel qui ne peut croître qu’à travers leur utilisation. Vouloir grandir dans la Grande Vérité de la Vie est le sens profond de la parabole des talents. A travers les expériences, nous confrontons notre vérité intérieure et extérieure. Cela nous permet de relativiser et d'ajuster nos convictions à une réalité plus grande que la nôtre. Ceci renvoie à une réalité au-delà des apparences visibles. Nos mots, les idées et actions servent à nous réaliser que nous faisons partie d'un tout plus vaste.
Ceci nécessite de former une vision toujours plus adaptée, supérieure et holistiques sur l'ensemble, en estimant plus correctement nos propres expériences en relation avec les expériences des autres et vice versa. Enfin, n’importe quelle façon de s’exprimer contribue à sa manière et à son niveau pour voir plus clair dans le véritable sens de la vie. Nous apprenons à travers les expressions nous rendre compte de la qualité des services que nous apportons à la perfection de l'ensemble. Sans cette participation active, autant que possible authentiques, nous ne pouvons pas entrer dans l'harmonie de l'ensemble (la symbiose).
Envers toute obsession de convictions ou sous-estimation de l’autre, quoi faire ? Nous exprimer de façon authentique avec le génie de notre originalité comme 'alternatif. L'authenticité fait partie de la grande vérité. En ce sens une expression authentique est de nature humble, elle est ce qu'elle est, rien de plus, rien de moins, et elle montre de soi-même ce qui nest pas conforme à la vérité. Elle donne la preuve de soi-même, sans enlever la liberté d'autrui, ni de le culpabiliser. Elle est le meilleur témoignage de notre solidarité, malgré les différences qui peuvent exister.
Unir nécessite discernement. C'est le propre la conscience. Discernement se crée grâce à la compréhension du juste rôle de service que chaque élément a dans l'ensemble. Cela suppose de voir les nuances des différents éléments et leur juste niveau sur l'échelle de tous les éléments qui composent l'ensemble. Discerner est faire la synthèse. C’est réunir tous les éléments, qui se présentent comme apparemment séparés, dans un ensemble cohérent et homogène. Ce n'est pas seulement un résumé mais le résultat du travail de la science et de la conscience de synthèse. Ce n’est pas simplifier, en mélangeant tout, ni pas séparer par analyse, mais insérer en reconnaissant les nuances dans des relations ou le service spécifique que les éléments rendent à l'ensemble. C’est découvrir la fonction des éléments d'un contexte donné dans le cadre de leurs relations justes dans l'ensemble.
Cela suppose « d’être «inconditionnel » ou une attitude impartiale qui appartient à l'intuition et l'amour inconditionnel. Être inconditionnel est la condition principale pour éveiller la conscience et d'obtenir discernement.
En face de la non-réceptivité de la conscience nous devons offrir la preuve de notre amour inconditionnel ou l’enseignement de nos expériences qui manquent à l'autre.
Sans confiance dans le potentiel de notre âme nous ne pouvons pas être créatifs. Seul l'acte créatif donne une satisfaction durable. (sinagogie ou la célébration de la réunion). Face à un manque de confiance, seulement la magie de célébrer la vie d'une façon créative, peut restaurer le manque d'amour qui a conduit à ce blocage.
Enfin, nous constatons que la tolérance connait différents degrés comme l'intolérance. C’est liée au degré de réalisation de la convergence de notre conscience avec les autres dans une conscience collective, que ce soit planétaire, cosmique ou divine. En relation avec elle, nous sommes tous à différents niveaux de conscience et d'inconscience. L'inconscient nous maintient dans les limites de notre individualisme et provoque un poids de réactions collectives aveugles. Elle bloque la libération de la conscience collective ou holistique qui est en réalité une conscience de synthèse ou de convergence de consciences individuelles qui les transcende. La transcendance est le propre de la conscience de synthèse et l'essence de la conscience d’omnitolérance divine.
La vertu de la tolérance avec toutes ses implications est le premier pas concret et pratique dans la transformation actuelle du monde. Elle va au-dessus de dualités, de dominations, d’impositions, d’oppositions et de conflits qui nous séparent de la réalité supérieure de la solidarité entre nous et l'univers. La tolérance crée le centre neutre de l’énergie libre qui fonctionne comme médiateur d’accords dans un monde où la loi de division et de séparation dominent. Le moteur sélectif de l’élévation vers l’union dans la paix durable au moyen de d’harmonisation au lieu du vieux paradigme dualiste qui prétend la nécessité de conflits pour atteindre une paix toujours instable. La tolérance est l’attitude positive concrète par excellence dans la transformation du monde.
C'est la raison de la Grande Fraternité d'amour, de pardon et de compassion qui est gravée dans l'âme de chacun de nous comme le rêve du nouveau paradis à réaliser. Son absence dans le monde est la raison du retour actuel du Christ cosmique. C’est la clé de son enseignement pour entrer dans ce nouvel alliance avec le Divin, à l'intérieur et l'extérieur de nous.
mardi 11 octobre 2011
Le sens du mot «tolérance»
Il vient de Tol (élévation), de tula, en sanskrit = balance, éliminant les excès, de télé (loin) et de er-ance (de are: l'acte d’aller comme état d'être, au-delà de la règle ou la loi en vigueur ou acceptée, mais en équilibre (harmonie).
La tolérance est un état d'être qui va au-delà des limites et les conventions normales. C’est créer un équilibre ou harmonie en dehors de l'ordinaire dans un monde où le paradigme de la domination prévaut.
La tolérance est créer un équilibre entre oppositions, formant un "centre médiateur neutre", ce n’est pas une attitude passive, mais interactive. Elle n'est pas passive comme l’indifférence qui accepte n’importe quoi ou acte. La tolérance est l'élément sélectif de l'unité dans le processus d'harmonisation du monde. C’est le mécanisme typique de l'interactivité ou l’attitude positive par excellence pour la transformation du monde.
Une qualité de cœur
La tolérance est la première qualité du cœur, fondamentale pour son rôle d’harmoniser et de transmettre informations. S’exprime et se reflète:
- au niveau physique pour régler le pouls (vibrations / condition)- au niveau émotionnel pour l'élection des sentiments (immunité / magnétisme)
- au niveau mental pour l'interprétation des perceptions (résistance / cohérence)
- au niveau supramental pour organiser les informations (flexibilité / évolution
- au niveau causal (effectif) pour les mots, les idées et les actions (talents / originalité)
- au niveau bouddhique (relationnel) pour le charisme de la conscience (amour / rayonnement)
- au niveau divin pour la créativité comme célébration de la sagesse de la vie. (réalisation de la sagesse de notre être divin)
Contraintes et blocages
Chaque niveau connait les mêmes handicaps et blocages mais d’une autre nature selon le contexte physique, émotionnel, supramental, causal, spirituel ou divin. Domination, imposition, fixation, généralisation, obsession, manque de confiance et de réceptivité sont les blocages qu’on rencontre à chaque niveau mais dans un contexte différent. Il s’agit toujours d’un problème d'harmonisation ou d’équilibre par rapport aux exigences de l'interactivité, évoqués dans une situation donnée, entre le soi et l'autre, entre la conscience individuelle et la conscience collective. La cause est le manque de conscience individuelle ou collective, dans le présent ou dans la mémoire d'elles. Notre niveau de tolérance est liée autant au niveau de notre conscience collective qu’individuelle.
Au niveau individuel notre tolérance est conditionnée par les expériences de nos vies antérieures, même en dehors de la sphère planétaire. Elle est conditionnée plus directement, à partir de la naissance, par les conditions de famille, (les ascendants, les parents ...), l'environnement et les expériences de notre croissance dans toutes les directions. Au niveau collectif, elle est conditionnée par le degré où la conscience collective s’est libérée du poids aveugle de la masse inconsciente. Il y a donc une interaction entre le plan individuel et collectif.
Chaque vie nous nous incarnons dans des situations qui conviennent le mieux pour élargir notre tolérance à travers les inconvénients les plus appropriés. La tolérance est en effet le paramètre de notre évolution qui réalise en concret le potentiel que nous avons tous pour entrer dans l'omnipotence, l'omniprésence et l’omniconscience cosmique ou divine de notre être supérieur.
Nous pouvons faire ici une comparaison avec l'arbre de la vie
La conscience individuelle constitue la base du tronc, ses racines sous la terre. La conscience individuelle est autolimitée par notre conditionnement et les blocages comme expliqué ci-dessus.
Pour élargir la capacité à tolérer plus de lumière ou d'illumination, nous avons besoin d’ouverture à la lumière en dehors de notre propre ombre et celui de l'inconscient collectif de l'intérieur de la terre, qui nous maintient dans son poids aveugle.
Pour cela, nous devons créer le tronc collectif de l'arbre de la vie avec l'amour inconditionnel de nos cœurs. Le tronc est le travail de notre déconditionnement par le travail d'harmonisation, individuellement et collectivement. Cela signifie que nous purifions notre ancrage dans le monde de la manifestation, en donnant à nos racines, grâce à la lumière que nous intégrons (la volonté du Père), la nourriture et l'eau du ciel pour faire grandir le tronc ou l'énergie de nos cœurs unis. C’est ainsi que Jésus disait: Je suis le tronc, en parlant dès cet aspect d'union "christique" ou l'esprit de l'union divine. Ceci est l’énergie réelle (royale) de la tolérance, de la communication, de l'harmonisation et de la solidarité. C’est l'énergie qui s’est libérée pour créer l'accord entre les racines et les branches avec les feuilles qui captent la lumière spirituelle des réalités de la conscience supérieure de l'amour inconditionnel ou de l'énergie l'amour .
Notre défi dans le monde d'aujourd'hui est de créer cette union entre les deux mondes au-dessus et en dessous, grâce à l'énergie libre du cœur. Elle est médiateur, neutre, harmonise et unit les pôles opposés dans des accords comme le fait notre cœur au niveau physique. C’est l'union de notre conscience individuelle limitée avec la conscience collective divine à fin de réaliser la fraternité universelle et de solidarité entre nous.L'Esprit de vérité
La miséricorde réunit toutes les qualités qui sont nécessaires pour l'ouverture de notre esprit et de notre conscience:
- l'humilité, au lieu du sentiment de supériorité ou de l'infériorité" permet de se mettre à la hauteur de l'autre et crée la communication nécessaire ou la syntonie pour que nos interactivités soient partagés dans les mêmes circonstances ;
- la patiente, au lieu de l'imposition autoritaire, permet l'adaptation de notre communication au rythme de l'autre et de l'ensemble et créent la synchronie dans la coopération;
- la bienveillance ou la valorisation de l'autre, au lieu du non-respect, permet de reconnaître à travers l'autre ce qui nous échappe et donc nous manque pour unir les forces de la synergie qui garantissent la paix;
- la magnanimité du cœur, au lieu de la rigidité mentale qui ne laisse pas de place aux expériences et instructions nécessaires pour pouvoir communiquer avec la vision des autres dans un processus de synopsis.
- la clémence et l'indulgence, au lieu du rejet qui est différent à soi-même, permet de pardonner à l'autre et faire appel à son authenticité pour qu'il entre dans la symbiose avec notre sphère de vivre et de penser;
- la générosité, au lieu de garder tout pour soi, permet d'aimer sans juger et de donner à l'autre dont il a besoin mais qu'il n'est pas capable d'acquérir de soi-même, c'est la concrétisation de con-science et de la science de synthèse;
- la créativité, au lieu de l'application conservative des règles strictes, permet de dépasser les blocages de la sagesse, enfaisant de la vie une
célébration qui exprime la possibilité d'unir et de réaliser le rêve du paradis, caché dans chacun de nous.