L'école de la vie est réaliser l'énergie libre du cœur: l'amour inconditionnel.
Elle vient visible par la fraternité universelle et sa concrétisation dans la paix.
Elle se réalise par un état de croissance continue de solidarité, en concret: par la création de relations autentiques, libres et créatives entre nous.
Cet état va au-delà de toutes les étiquettes et organisations qui peuvent nous séparer par leurs visions, aussi valables qu'elles soient.
Elle implique de valoriser tout dans la perfection de l'ensemble.
C'est un travail dynamique de synthèse.

vendredi 24 août 2012

De crises et dépressions vers l’espoir du temps nouveau

« La vie est respiration avec expansion et implosion. C’est vrai au niveau de l’univers comme au niveau de l’être humain. »

Souvent les rencontres avec des gens nous révèlent des dépressions, parfois bien visibles, parfois reconnues, parfois cachés. Les raisons sont multiples et nous ont amenées à les situer dans le contexte des temps des changements actuels. Voici les réflexions, qui ne sont surement pas complètes, mais qui peuvent apporter un peu plus de compréhension, de pardon et de compassion.
 Il y a autant d’univers que des êtres humains et de vies qui se succèdent. Les univers s’étendent jusqu’ à un point critique pour créer un nouvel  univers, tandis que l’ancien univers implose et se répartit pour une partie pour nourrir d’autres univers. Chez l’être humain, par la mort, son esprit s’unit avec des niveaux supérieurs de vie où les êtres sont de plus en plus unis dans des entités collectives au fur et à mesure que le niveau de conscience monte . Par cette union les expériences humaines deviennent expériences collectives et les  caractéristiques individualisées perdent leur importance. Malgré cette union, l’esprit garde son archétype personnalisé et son cadre spirituel familial qui ne change ou évolue qu’au fur et à mesure de son ascension dans la conscience universelle.

Pour faire cette ascension dans l’infini, l’esprit a besoin de nouvelles expériences et donc de se réincarner. Il se greffe ou se transplante alors sur la matière d’un corps qui attire tous les éléments et l’entourage nécessaire pour attirer les expériences qui puissent aider à son évolution et à atteindre la prochaine marche sur l’échelle de l’initiation spirituelle de sa conscience. Selon le besoin, l’esprit choisit l’incarnation qui attire des situations jusque-là jamais ou peu expérimentées, un caractère plus ou moins différent, des sensibilités plus ou moins talentueuses ou un génie pas encore développé. Parfois la réincarnation est une sorte de reprise des expériences antérieures pour pouvoir faire une synthèse des vies antérieures. Tout cela appartient aux cycles de la vie. Il y a des grands et des petits cycles, des synthèses mineures et des synthèses majeures, aussi bien sur le plan individuel que sur le plan familial ou collectif. A la fin des grands cycles, il y a une sorte de reconstruction globale ou plénière. C’est le phénomène des avatars ou des maîtres de sagesse.
Tout cela cadre dans le sens de la perfection d’une infinité d’univers superposés et parallèles. Ils baignent dans un univers infini, immuable, source infinie de toutes les formes possibles, de toutes les intelligences imaginables et de toutes les perfections réalisables. Cet univers est inhérent à tous les autres univers comme il est inhérent à l’être humain. C’est l’univers divin ou original avec le Principe Créateur Universel et son potentiel infini qui est présent en tout et dont tout fait partie. C’est l’univers qui unit le monde abstrait avec le monde concret et qui est à la fois les deux unis.
L’ensemble est comme une échelle avec des marches à l’infini mais les montants et les marches sont comme des hologrammes omniprésents, omnipotents et omniconscients.  Ainsi se forment plusieurs niveaux de réalités qui sont interactifs, intercréatifs et interinformatifs. Selon notre intelligence et  conscience réalisées, ils semblent plus ou moins séparés de nous par leur niveau d’évolution, leurs différences de vibration ou leur lumière intelligente. Les univers supérieurs peuvent bien voir les univers inférieurs mais l’inverse est moins évident par manque d’horizon de vision suffisamment large et clair. C’est pour cela  que les interventions extraterrestres, spirituelles ou matérielles,  sont souvent si difficilement acceptables pour la conscience de l’être humain. La conscience supérieure peut bien interférer avec la conscience inférieure. Pourtant la supériorité n’est pas garantie d’absence d’erreurs et de manipulations puisque tout fait partie d’une échelle de graduation de perfection.
 Il y a donc plusieurs marches que l’être humain n’est généralement pas encore capable de discerner puisqu’il n’a pas encore un mental expérimenté pour penser en niveaux et entrer dans l’univers original. Disons simplement que les niveaux spirituels plus purs contiennent nos guides. Ils  peuvent créer des conditions optimales pour les êtres humains. Ils peuvent stimuler notre libre arbitre, mais n’essayent pas de nous manipuler en nous soumettant à leurs exigences. Ils interviennent directement par canalisation ou via leurs esprits incarnés qui ne sont que cycliquement reconnus comme tels. Les niveaux moins purs ont plus la tendance à s’imposer et donc à transmettre leurs imperfections du fait de leurs plus grandes imperfections.
Dans le processus de l’être humain, il y a donc, à travers les cycles d’incarnation de son esprit, des  mouvements d’expansion et d’implosion qui font partie de la croissance de sa propre conscience en même temps de celle de l’univers. Ces cycles l’amènent chaque fois à une nouvelle étape de perfection avec des nouvelles possibilités d’entrer dans des niveaux de réalités d’univers supérieurs. Ainsi l’homo sapiens a quitté le stade d’animal en perdant les moyens de son instinct pour les remplacer par une sensibilité intelligente qui lui amenaient à une conscience de ses  différences dans le groupe auquel il appartenait. Dans cette évolution la nature a fait une sélection pour garder les plus forts et résistants en développant ainsi le moi conscient individuel. C’est le prolongement du principe animal des meneurs ou des chefs. Dans ce nouveau contexte d’êtres individualisés par une autoreconnaissance,  l’être humain a commencé à transformé les capacités de sa force vers une nouvelle étape de sensibilité : celle de l’intuition. C’est une diversification qui a créé le statut des initiés ou des chamans. Souvent les deux catégories se sont mélangées, ce qui était le cas dans l’époque Atlantide. Dans ce processus nous ne pouvons pas exclure des influences et des contacts avec de niveaux extraterrestres.
Pour situer l’autoreconnaissance  à travers ses relations dans le groupe, l’homo sapiens était poussé à différencier cette conscience à l’aide d’une personnalité différente des autres avec son caractère spécifique. Les changements des circonstances l’ont obligé à les peaufiner. La personnalité devient alors aussi la base du développement du mental humain ou l’instrument qui sélectionne les informations intelligentes reçues de l’entourage, permettant de créer des concepts comportementaux  pour valider et justifier la nature plus ou moins conditionnée de ses relations.
Cette personnalité évolue ensuite avec des tendances différentes, tantôt dirigé vers la manifestation du moi ou ego, tantôt vers des niveaux de consciences d’un soi supérieur qui appartient à des réalités supérieures. Chaque étape de perfection signifie le dépassement de l’étape passée ou une sorte de mort en passant par une porte initiatique. Tantôt cette mort est physique, quand l’inconscience de l’esprit ne voit pas d’autre issue, ou que le potentiel de l’incarnation est épuisé, tantôt cette mort est symbolique, quand les conditions internes et externes permettent à l’esprit de voir la prochaine étape et de dépasser les limites et blocages de la personnalité.
Dans cette évolution l’accentuation de l’ego dans l’entourage s’oppose de plus en plus à ceux dont la personnalité s’oriente plus vers une conscience spirituelle plus projetée dans un ensemble plus élevé et impersonnelle au-delà de la personnalité commune. Parfois, et à certains époques, ce changement de conscience est vécu comme une vraie dépression ou crise collective à côté des crises personnelles, plus fréquents.
Dans cette ambiance, la personnalité, mentalement programmée et limitée par son système d’autodéfense perd ses références habituelles et se sent menacée. On ne sait plus ce qu’on veut et où on va. Cette confusion peut être continue et s’aggraver ou se manifester par périodes avec des hauts et des bas. Tout semble soudainement être contre soi. La personne se sent ou bien incapable, ou paralysé, ou victime. La personnalité va alors se cacher derrière cette situation et paralyser le choix du libre arbitre qui devient l’exécuteur d’une tyrannie de forces aveugles.
La cause des problèmes est projetée en dehors de soi puisqu’on est bloqué pour la voir, au moins pour une partie, en soi-même. Tout l’entourage devient alors une excuse pour cette fixation que la personnalité a pourtant évoquée elle-même. La personnalité se fige  de plus en plus en refusant d’accepter de voir les limites de sa propre réalité en face. En même temps l’entourage  a tendance, comme réaction, de réagir de la même façon, ce qui accentue la crise.  Si ce n’est pas le cas, chaque bonne intention sera facilement interprétée à l’envers et c’est l’impasse.
Du fait que l’autre fonctionne pour une partie comme miroir, la personnalité et surtout son côté égotique, le voit souvent comme une menace. La honte est une autre raison qui rend la confrontation difficile. Elle fonctionne comme un élément important de l’autodéfense. En plus, le mental, qui se fixe et la personnalité, qui se bloque, libèrent à cet instant la mémoire de toutes les frustrations et peurs du passé. Le comportement devient alors incohérent, voir même déséquilibré. La personne a de plus en plus de difficultés de se contrôler. Il ne comprend plus ce qui se passe en se mettant en dehors de la réalité, même de sa propre réalité de la conscience de soi. C’est une situation pénible qui, à cause de la fragilisation du contact avec l’esprit  et le soi supérieur, va facilement de pair avec beaucoup de souffrances, des accidents et des maladies, qui font aussi partie des causes des dépressions, ou qui l’annoncent ou aggravent.
Il s’agit d’une sorte de défi de la personnalité pour voir jusqu’où il peut aller dans son système d’autodéfense. Sans en voir les conséquences par son incohérence, il  peut aller jusqu’à nier, perdre ou même détruire tout ce qui lui a servi dans le passé pour évoluer, jusqu’au suicide de soi-même. Problèmes psychologiques et sentimentales, problèmes de santé et de vitalité, de motivation, d’instabilité de travail, d’argent, de relations ou encore des intolérances, du  perfectionnisme et d’exigences de toute sorte en sont les conséquences. C’est un combat contre soi-même pour libérer l’esprit. L’esprit ne se libèrera pas par la mort physique puisqu’il s’incarnera de nouveau, selon la loi de l’univers. Il se libèrera quand la personnalité acceptera de s’ouvrir au potentiel de l’esprit et le besoin de son évolution.
Ce processus de libération est souvent  plus difficile pour les êtres plus intelligents. Passer à la marche suivante devient alors autant plus difficile par le scepticisme d’un mental plus complexe. Il bloque la confiance en soi et les autres en accentuant les tendances égotiques par la peur de perdre les acquis et de devoir se charger d’une responsabilité, imaginée au-dessus de ses moyens ou jusque-là rejetée. Le mental évolué est dans ces cas très malins pour trouver excuses et manipulations raffinées. Ces personnes ne sont plus conscientes envers l’enjeu de ce qu’elles risquent de perdre et vont alors inventer des excuses, des contournements, enfin un tas de tactiques pour contourner les problèmes qu’elles ne veulent pas affronter. Les observations du comportement des enfants nous enseignent beaucoup  quand ils se bloquent envers les demandes des parents.
Mais la confrontation avec soi-même deviendra finalement inévitable. Tout ce qui la fuit, accentuera finalement ce besoin. L’isolement est finalement un appel au secours. La loi de la vie est de survivre par l’acceptation en relativisant le problème dans un autre contexte. De la même façon, on ne peut pas guérir si on n’accepte pas la maladie en envisageant quelconque solution et au moins de vivre plus heureux chaque instant qui soit donné. L’entourage semble souvent impuissant envers de telles situations. Il faut beaucoup de patience, sans pouvoir imposer le changement souhaité. Il faut surtout créer de la cohérence. Se laisser simplement faire ou jouer le jeu de ceux qui refusent l’acceptation n’est pas leur rendre du service. Par contre cela ne veut pas dire rejeter ou exclure  mais montrer que la vie continue malgré eux, qu’il y a d’autres possibilités et d’autres façons de faire pour être heureux.
Ne pas fixer un problème est souvent la meilleure façon pour le résoudre, parce que c’est  le relativiser dans un contexte plus harmonieux. Un problème est un problème à cause de son  isolement du  contexte, mal perçu ou mal vécu. Toute crise ou dépression est en réalité un problème de relations justes avec soi-même, l’entourage et l’autre. Quand cela semble impossible à solutionner et que le blocage persiste, se laisser abattre est perdre ses moyens. Il faut en prendre la leçon et commencer à changer soi-même. (ho'oponopono)
 « Améliorons le monde, commençons avec nous-mêmes et le monde changera ». 
La communication est souvent très difficile et délicate dans ces situations. Elle demande la juste distance envers ce qui est problématique. Mais elle est facilement pratiquée et interprétée comme un moyen de reproches pour imposer la faute et la culpabilité à l’autre. Ceci n’est pas idéal pour renforcer la confiance qui est la condition pour qu’il y ait une vraie communication. Elle suppose d’ailleurs du pardon et de la compassion, c.à.d venir à la hauteur de l’autre, sa sensibilité et compréhension sans s’y perdre dedans.  Il faudra donc, dans des cas difficiles, communiquer indirectement à l’aide des médiateurs, ou chercher d’autres actions d’ouverture. Il faut parfois vraiment se retirer et attendre et espérer des conditions meilleures si la vie le permet selon la conscience atteinte. Au moins nous pouvons envoyer des ondes positives.
Partout est connue, dans la spiritualité, l’épreuve qui accompagne une nouvelle initiation dans une étape supérieure. C’est comme un examen qui prouve la capacité de dépasser les conditions anciennes avec ces limites, ses peurs et ses ignorances. C’est toujours un saut dans le vide, le non déjà connu ou pas encore expérimenté,  qui contient en fait les sources du potentiel de l’univers originel. Le saut dans le vide c’est une épreuve de notre confiance dans la vie. C’est passer outre des limites de notre sensibilité et perception mentale. Le saut dans le vide amène toujours à combler ce dont nous avons besoin. Il nous soulève au-dessus de la fatalité que nous avons vécue dans le passé. Il ne s’agit pas d’une confiance aveugle, mais d’une confiance, basée sur nos expériences. Dans ce sens nul ne reçoit les épreuves pour lesquelles il n’était préparé. C’est la justice universelle inhérente à l’évolution de la vie.
 L’épreuve est en fait la confrontation avec nos propres résistances et limites imaginés. Comprenons que nous nous créons constamment nous-mêmes selon notre conscience réalisée. Nous créons les coïncidences de notre vie, même sur le plan collectif.  Mais chaque montée sur l’échelle de la perfection de la vie permet de faire de plus en plus appel à notre libre arbitre et donc aussi à notre confiance dans la vie. Plus qu’on monte, on est en même temps confronté avec ce qui est plus bas. C’est la loi de l’équilibre. Il n’y a pas de branches et de nouvelles feuilles sans éclairer le développement des racines.
Le sens de notre vie est d’expérimenter pour comprendre comment situer notre vie comme un service interactif dans l’ensemble qui nous entoure et qui s’étend en continu. Le rôle de notre personnalité et sa perfection est d’aligner ses caractéristiques de plus en plus à ce service. Au lieu de perdre quelque chose, il y gagne de puissance, d’amour et de sagesse qu’elle communique à l’esprit de notre être supérieur. Notre personnalité devient vraiment un instrument noble, comme un stradivarius, qui produit des sons magiques pour tous comme pour soi-même.
En se projetant vers ce service, notre personnalité devient plus universelle, en fait plus impersonnelle, puisque ses caractéristiques ne se fixent plus sur soi-même, dans l’instrument. Elle est ouverte à la meilleure cohérence, l’ordre plus parfait, la beauté plus universelle et l’union plus harmonieuse pour tous, soi-même inclus. La personnalité dirigé vers soi-même ne sait pas vraiment ce qui est bien pour soi-même parce qu’il est victime de ses propres conditionnements et concepts. Elle vit dans l’illusion d’autosatisfaction qui le rend irrésistiblement esclave de soi-même comme la drogue.
Le monde actuel connaît une montée vertigineuse de personnes en dépression. Qui en est la cause ? L’autre ? Il y a bien un changement énergétique dans le système solaire qui active le cerveau. Cela fait partie d’un plan qui aide pour que les causes des dépressions soient plus visibles et compréhensibles. Les causes ne sont en effet pas seulement individuelles, mais aussi collectives. Bien que chacun choisisse sa situation, nous subissions aussi les effets des actes des autres. Les incohérences dans la vie collective créent aussi des situations désastreuses qui contribuent à la dépression au niveau individuel. Qui n’est pas impatient, trop exigeant, trop craintif, trop occupé… ?
Qui ne se cache pas tout de suite derrière la faute de l’autre ? Qui n’accuse pas l’autre ? Mais cette incohérence ou imperfection a un effet collectif qui alimente l’esprit collectif et mine la confiance dans la société. C’est de cette façon que la société collective se met cycliquement en question à fin d’évoluer vers un niveau supérieur. Et nous sommes maintenant dans le temps des changements.
L’humanité est dans une situation de changement vers une étape de conscience supérieure dans lesquels les vieilles références collectives pour nos personnalités tombent comme des maisons de cartes. C’est un défi de confiance pour l’être humain pour développer un contexte collectif nouveau dans lequel l’être humain peut se situer dans des relations plus justes avec soi-même, l’entourage et l’autre. C’est donc à chacun d’y remédier et d’être, selon sa situation et possibilités, inventeur et   stimulateur de formes et d’expressions nouvelles,  une science nouvelle, une vie individuelle et collective nouvelle. Ceci ne veut pas dire qu’il faut virer tout l’ancien. On garde ce qui a prouvé sa valeur, sa beauté, son utilité et on transforme ce qui est transformable.
Le meilleur remède pour les personnes en dépression est de leur montrer cette confiance et de créer le nouveau. Par les actes l’esprit devient vivant. La lumière de ses informations intelligentes peut ainsi entrer dans le petit mental obnubile des êtres humains et stimuler ses neurones pour une réceptivité plus grande à la lumière spirituelle.  C’est l’espoir du temps nouveau qui commence.

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L'Esprit de vérité

L'Esprit de vérité fait appel à la miséricorde qui implique la compassion et le pardon.

La miséricorde réunit toutes les qualités qui sont nécessaires pour l'ouverture de notre esprit et de notre conscience:

- l'humilité, au lieu du sentiment de supériorité ou de l'infériorité" permet de se mettre à la hauteur de l'autre et crée la communication nécessaire ou la syntonie pour que nos interactivités soient partagés dans les mêmes circonstances ;
- la patiente, au lieu de l'imposition autoritaire, permet l'adaptation de notre communication au rythme de l'autre et de l'ensemble et créent la synchronie dans la coopération;
- la bienveillance ou la valorisation de l'autre, au lieu du non-respect, permet de reconnaître à travers l'autre ce qui nous échappe et donc nous manque pour unir les forces de la synergie qui garantissent la paix;
- la magnanimité du cœur, au lieu de la rigidité mentale qui ne laisse pas de place aux expériences et instructions nécessaires pour pouvoir communiquer avec la vision des autres dans un processus de synopsis.
- la clémence et l'indulgence, au lieu du rejet qui est différent à soi-même, permet de pardonner à l'autre et faire appel à son authenticité pour qu'il entre dans la symbiose avec notre sphère de vivre et de penser;
- la générosité, au lieu de garder tout pour soi, permet d'aimer sans juger et de donner à l'autre dont il a besoin mais qu'il n'est pas capable d'acquérir de soi-même, c'est la concrétisation de con-science et de la science de synthèse;
- la créativité, au lieu de l'application conservative des règles strictes, permet de dépasser les blocages de la sagesse, enfaisant de la vie une
célébration qui exprime la possibilité d'unir et de réaliser le rêve du paradis, caché dans chacun de nous.


Chinus aquarius en fleur au jardin de Palmille

Chinus aquarius en fleur au jardin de Palmille
Pâques 2013 l'éclosion d'un esprit nouveau et d'une création nouvelle