Gizeh, Dendérah et Montserrat : l’évocation des Constellations du Lion et du Verseau et leur influence sur les changements des cycles du soleil et de la terre.

 

Représentation classique du début de l’ère dues Poissons

Une fois de plus, la visite des montagnes sculptées de Montserrat nous confrontait aux changements qui accompagnent le cycle pléiadien de près de 26000 (25800) années du soleil et de son système. Essayons de voir cela de plus près dans un contexte autant que possible global.

Nous entrons actuellement dans la période de transition vers l'ère du verseau, le début d'un nouveau cycle. À cette époque, le nord est pointé depuis l'axe de la terre près de l'étoile polaire, Polaris.

Le soleil se rapproche alors, à l'équinoxe du printemps, de cet axe pour entrer progressivement dans la zone de la Constellation du Verseau. Par l'effet de la précession, la limite de cette constellation (330°) se déplaçait au cours des 2150 années passées progressivement vers le point vernal de 0°, égal à 360° (mouvement de 1/12° ou 30° du cycle de 360° de 25800 ans).

Ainsi la Constellation du Verseau, se trouvant au Nord entre 330 et 360° (0°), la Constellation du Lion se trouve automatiquement du côté opposé au Sud, entre 180° et 150°, comme le montre la représentation du zodiaque à gauche. Son étoile principale Regulus (= petit roi, régulateur) se trouve alors aussi 30° plus loin, alignée à 180° par l’effet de précession.

Le début de la Constellation du Verseau se trouve alors en direction de l'étoile Polaris de la Petite Ourse, en opposition et aligné au Sud avec l’étoile Regulus au début de la Constellation du Lion. Il nous semble qu'il fonctionne comme référence-régulateur de l'environnement local de la galaxie avec le système solaire. Cette  étoile est liée avec la place de la terre au centre du cercle qui représente la précession par alignement  avec le centre d’orientation GRAU dans le carré (des 4 étoiles) de la Grande Ourse (point de croisement de l’écliptique de Mercure avec le mouvement circulaire pléiadien du soleil). Avec l'étoile Arcturus (= gardien des ours), référence-régulateur de la galaxie avec l'univers, l'étoile Polaire et l'étoile Regulus forment un grand triangle comme indiqué dans le premier schéma du ciel. Il nous semble gouverner les énergies des effets du mouvement du soleil sur la terre, entre autres par rapport à la position et à l'inclinaison de son axe dans le ciel.

Note : Voyons le schéma plus haut du ciel comme des éléments unis et comprimé dans une représentation quantique avec un potentiel multidimensionnel qui montre des relations insoupçonnées. Le triangle bleu est une des bases de la géométrie sacrée de l'univers 

Le lion et sa représentation dans le ciel jouaient un rôle important d'ajustement de la vie dans l'Égypte antique. Il était associé au soleil et au pharaon qui gouvernent la vie et la mort. En tant que roi des animaux, il symbolisait la justice comme force principale et dominante de l'univers, en même temps danger et protection dans le mouvement de rénovation via les cycles. Il a remplacé, pour des raisons religieuses, l'Ours de l'Europe au Moyen Âge qui figure plus comme maintien de stabilité. (L'Ours se trouve en différents lieux et dans les zones d'origine de la culture celtique : Berlin, Berne, Madrid...) Il symbolisait aussi la force d'orientation et de protection. Nous le trouvons dans le ciel comme la Grande et la Petite Ourse avec son étoile polaire, ou Polaris, qui pointe le Nord de la terre comme référence actuelle du maintien des cycles.

D'autre part, la représentation la plus connue du lion en Egypte est le sphinx de Gizeh qui pointe ses yeux vers le soleil levant à l'Est. Le soleil semble transmettre sa force par sa lumière. Notons que la constellation du Lion forme l'un des angles de la Grande Pyramide comme nous l'indiquons dans la dernière image. Le lever du soleil se situe à l'Est comme l'indique le sphinx, à moins que le nord de l'axe de rotation de la terre ne se déplace pas vers le sud (inversion). Dans ce cas, le soleil se lève à l'ouest. En tout cas, le sphinx avec la grande pyramide semble correspondre à une horloge astronomique qui a 2 axes à base des 4 points de référence fixe de la pyramide : verseau-lion et taureau-scorpion.

En tout cas, par rapport à l'univers, l'aube du soleil se situe toujours entre le nord et le sud et l'est et l'ouest. C'est l'image du soleil entre deux lions au temple initiatique de Dendera en Egypte.

On ne peut pas voir dans cette représentation la simple évocation du phénomène de la précession de la terre par lequel le soleil se lève une fois tous les 26000 ans dans le signe du lion. La position de la Constellation du Lion se trouve, par effet de précession, seulement à l'équinoxe du printemps dans la direction la plus exacte de l'Est à partir de l'ère du Taureau, comme l'indique l'image plus haute à partir du centre du zodiac, posé sur le sphinx (Great sphinx). Son étoile Regulus ne se trouve là qu'à la fin de cette ère. D'autre part, à l'époque actuelle, le soleil se couche au moment des équinoxes au-dessus de l'épaule droite derrière le sphinx. Il ne semble pas y avoir de corrélation plausible entre ces deux situations. Il nous reste donc à regarder au-delà.

Dans cette image, vue de la terre, le soleil figure en face au milieu, en bas d’un fléau d’équilibre qui oriente les têtes de deux lions, regardant dans la direction opposée (est-ouest) vers l’horizon. Cette barre nous semble représenter le mouvement possible du balancement de l'axe de la terre, soutenant le ciel au nord en haut et le sol au sud en bas. Il montre que la constellation du Lion par rapport au soleil peut se trouver, par le balancement du fléau, parfois à sa gauche, par changement de l'axe de la terre. Déjà inclinée de 23°26’ à l'est, selon la situation du moment, elle peut descendre vers le sud, tandis que, au côté opposé, l'axe monte vers le nord pour revenir après un certain temps.

Il semble que tous les demi-cycles pléiadiens, ou environs tous les 13.0000 ans, des changements importants se produisent sur terre. La dernière fois connue c’était le troisième cataclysme qui a touché l’Atlantide et provoqué sa disparition définitive à l’époque de l’ère du Lion. Ceci ne veut pourtant pas dire une inversion automatique de l’axe de rotation de la terre. A part des changements plus ou moins importants des conditions intérieures de la terre qui peuvent influencer la stabilité des pôles du champ magnétique, il faut des changements extérieures, comme des positions spécifiques des planètes et/ou une un entourage cosmique spécifique ainsi qu’un comportement inhabituel du soleil, comme actuellement, pour que l’axe de la terre puisse changer significativement, jusqu’à s’approcher d’une inversion. C’est une situation qui pourrait être envisage pour le printemps 2024 et que nous avons expliqué et publié sous le titre et lien : Le saut quantique de la terre : le temps 0 de la manifestation de l’énergie de synthèse : l’évènement du collapse cosmique de l’Ascension de la terre probablement en mars 2024, publié dans le blog de Pangeosis le 1 octobre 2023.

Mais quel que soit le mouvement de la terre, le lever du soleil sera toujours au milieu de ce mouvement comme nous montrons sur le plan de Montserrat après. Hérodote mentionne dans ses écrits que cette inversion de la levée du soleil à l’ouest par une descente du nord vers le sud, aurait dû se répéter au moins deux fois selon la mémoire des sages égyptiens.

Cela peut poser le problème si ces changements, plus ou moins répétitifs, de l’axe de rotation de la terre ne seraient pas toujours marqués dans le magnétisme de la matière terrestre. Pourquoi ? Nous remarquons qu'il y a des changements qui sont parfois l'effet de causes externes, parfois de causes internes ou un mélange entre les deux. Quand nous changeons un aimant de position polaire avec la main, sa polarité ne change pas, seuls ses pôles sont orientés dans une autre direction. C'est une cause externe. Inversement, si le magnétisme change à l'intérieur, par exemple par réchauffement, cela facilite un changement dans la polarité magnétique. Le changement des pôles, uniquement pour des raisons extérieures, ne laisserait pas autant ou peu de traces dans la matière terrestre. Les changements les plus importants qui ont un impact profond sur le magnétisme terrestre laissent une empreinte plus évidente.

Les 2 lions partagent le ciel dans deux zones de 150°, séparées par le centre du soleil et formées par les lignes qui touchent une oreille de chaque lion. Entre elles il y a une zone de 30°, le temps de chaque ère cyclique. Les Égyptiens savaient qu'il y avait toujours des variations dans les mouvements célestes. Pour cela ils montrent des inégalités dans leurs représentations qui cachent des zones de flexibilité ou d'ajustement pour les variations des forces cosmiques qui interagissent. Ainsi nous remarquons que la partie gauche de l'image est légèrement différente de la partie droite comme les lions eux-mêmes. L’image affiche donc une flexibilité de 5° au-dessus et au-dessous des zones de 30° (ce qui fait au total 10 °). L’image est la représentation d’une vision qui évoque une réalité de contradiction autour de la fixation de la Constellation du Lion en relation avec le thème de son rôle de gouverneur de mouvements célestes.

La Constellation du Lion était dans l’ère des Poissons, ère de la fin du cycle pléiadien actuel, au début entre 120 et 150°(Este) en relation avec le Pôle Nord de la terre. Au début de ce cycle, il y a eu possiblement une inversion avec la Constellation du Verseau suite à un changement de l’axe de la terre avec un retour au milieu du cycle à l’ère du Lion provoquant la troisième catastrophe d’Atlantide qui a conduit à sa disparition finale. Compte tenu de l'inclinaison de la terre (23°26 Est), cette inversion semble limitée à 150° (23°30 fixe  + 150° = 173°30). Compte tenu de la marge de réglage (5°-10°), la nouvelle inclinaison de l'axe de la terre aurait été alors réduite entre -6°30 Est et 3°30 Ouest. Ceci nous parait expliquer l’inclinaison de la ligne (10°) Cadireta-Timbaler sur la carte de Montserrat qui suit.

Il y a des raisons de douter de cette explication sur la simple représentation de Dendérah. Cependant, grâce à Carmen Maymo de Barcelone, nous avons découvert cette autre représentation céleste, évoquée par les montagnes de Montserrat que nous avons partiellement exploré maintenant trois fois. Notre amie découvrit que ces montagnes sont comme un livre ouvert des temps lointains, probablement élaboré des géants atlantiques. Il y a consacré deux livres : le temple ouvert de Montserrat et le temple d'Horus (Osiris), un troisième étant en cours. Cette montagne sculptée nous a révélé, grâce à ces livres et nos visites, que l’axe de la rotation de la terre pourrait changer au-delà de ce qui est connu actuellement.

A la limite nord de cette montagne nous rencontrons la cadireta, un rocher fort avancé et orienté vers le nord. Juste derrière, il y a une ouverture qui parait sculptée en forme de triangle quasi parfaite. La cadireta ressemble à une tête d’un sphinx ou lion élevé, qui regarde l’horizon nord. Vu d'en bas, elle  ressemble plutôt à une tête d'un serpent, symbole du mouvement énergétique éternel de transformation cosmique (Kundalini) toujours orienté vers le potentiel de son origine (le cercle de l’Ouroboros). Dans ce contexte le sphinx évoque sans doute  la Constellation du Lion dans le ciel, A savoir pourquoi, il se trouve ici orienté vers le nord ! A l’époque actuelle il se trouve vers 150° vers l’Est comme indiqué plus haut.

Et pourquoi ce triangle ? Un symbole féminin comme propose Carmen Maymo qui cache le secret d’un mécanisme céleste ? Ce triangle semble avoir les mêmes angles que notre triangle sacré Polaris-Regulus-Arcturus mais Regulus pointe vers le ciel comme montre l’image précédente.

Nous avons alors projeté le grand triangle Polaris Regulus-Arcturus pour voir le fondé de notre intuition et présomptions. L’étoile Polaire devrait coïncider avec la cadireta et le triangle devait prendre la même position qu’au ciel jusque la ligne Arcturus- Regulus touche la position du timbaler en la face du sud. Ici, le timbaler (le batteur qui éveille) a l'image de la tête sculpté d'un homme. En réalité il évoque, en relation avec le lion de l’autre côté de la montagne, le progrès de l’intelligence de l’être penseur par  la compréhension de ses expériences répétitives. Selon Carmen Maymo, ce potentiel intelligent parait mis en évidence par la pierre ronde centrée au-dessus de sa tête. Elle évoque la connexion de la glande pinéale avec le potentiel spirituel du centre solaire de son âme au-dessus de sa tête. C’est le sens propre de l’homme verseau, l’éveilleur céleste du sens (volonté) du grand dessein de la vie dans l’univers. Il se situe dans cette montagne proche derrière la tête du grand pharaon (expression humain par excellence de la grande Intelligence Divine Cosmique) qui regarde vers le soleil couchant ou « plutôt sa levée inversée dans un temps lointain? » comme l’orientation de la pierre ronde appelé la Tisoreta (ciseaux qui coupent le ciel) qui évoque une disque solaire ou le zodiac avec l’axe du monde (axis mundi) à son centre.

Puis nous avons représenté le plan détaillé de la grande pyramide de Gizeh avec le sphinx orienté vers l’Est.

Peut-on nier ici une relation avec l’Egypte ou plutôt, vu l’endroit, avec l’expression d’un passage de la sagesse Atlante avant sa destruction ?

 Photo: https://totmontserrat.cat/ngg_tag/la-tisora/

Nous constatons que la ligne de la Cadireta jusqu’au Timbaler dévie de 10° de l’axe nord-sud. Le fameux jeu de flexibilité ? A partir de cette ligne, il y a environ 23°30 pour trouver la ligne entre la cadireta (l’étoile polaire) et l’étoile Arcturus, apparemment référence céleste pour la relative stabilité de l’inclinaison actuelle de la terre. Puis, l’étoile Regulus se situe de 120 à 150° degrés selon que nous positionner l’étoile Polaris du triangle sur le centre de l’image (l’étoile polaire en rapport de Gizeh) ou sur la cadireta.

Au début de l’ère du verseau Regulus devrait se trouver à 180° en opposition avec le Nord mais nous trouvons ici le lion à O° au Nord. Tout ceci nous fait penser que ce qui est montré ici est que l’axe de la terre ne se serait pas totalement inversé mais de 150°-151° à partir de l’inclinaison de 23°30 de la terre, plus un ajustement de maximum 10°. En réalité l’inclinaison de de l’axe de la terre aurait été plus près du Nord céleste 6 -7° vers l’ouest à 3-4° vers l’est (ce qui aurait fortement influencé le climat). N’est-ce pas suggéré par le triangle derrière la cadireta qui semble aussi un peu incliné.

Ces indices, assez coïncidents, montrent la probabilité des inversions plus fréquentes, plus ou moins partielles, de l’axe de la rotation de la terre. Mais il nous manque encore des données précises de sa répétition de balancement cyclique ou répétitif comme raconte Hérodote.

Photo: https://totmontserrat.cat/ngg_tag/la-tisora/

Quand nous regardons ce triangle Polaris-Regulus-Arcturus de plus près, nous constatons qu’il s’agit d’un triangle à peu près isocèle avec deux es angles de 62° partant de Polaris (orientation) et Arcturus (contrepoids d’ajustement), égalité  qui est le propre du principe d’une balance). La science confirma que le triangle est la forme basique du tétraèdre qui structure l’équilibre de l’énergie cosmique (Nassim Haramein). Les Atlantes et les Egyptiens avec leur culture pyramidale le savaient bien

Finalement, c’est Regulus qui forme le centre du mouvement de balance (56°) permettant des changements selon l’évolution lumineuse des facettes du potentiel de l’univers. Note : Le cycle celtique comptait 56 ans, soit 59 années lunaires et 118 cycles écliptiques).  

Tout ceci nous vient de plus en plus claire comme les indices du mécanisme d’une horloge céleste. Il est donc indiqué de retourner vers la première image pour une meilleure compréhension. En partant de l’étoile Regulus en ligne droite, nous arrivons au centre du cercle de la précession en passant par le centre (entre les 4 étoiles) de la Grande Ourse, que nous avons appelé GRAU (allusion au caractère dominant de l’animal qui dans la voute céleste aspire notre regard par sa lumière et l’oriente vers l’étoile Polaris), centre de la matière grise ou du mental de l’intelligence céleste selon la Grande Invocation. Regulus serait donc la référence de la rectification de l’orientation de la terre en rapport du système solaire.

De l’autre côté, se trouve Arcturus. Une ligne droite croise, dans ces temps, l’orbite de Mars au  prolongement de l’axe du soleil (7°) en passant par le centre (entre les 4 étoiles)  de la Petite Ourse, que nous avons appelé PAU (Paix en catalan). Ce centre figure dans la Grande Invocation comme centre d’amour ou de l’énergie libre du cœur de l‘intelligence (Dieu) de la galaxie).Cette étoile semble aussi directement liée à l’énergie de la ligne centrale qui traverse le cône des photons qui entrent dès les sources cosmiques à travers d’un centre invisible derrière les Pléiades. Nous l’avons appelé Kali (déesse de la force vitale ou du dynamisme de l’univers). Apparemment, c’est dans ce cône que le soleil a commencé à transiter les deux dernières décennies, ce qui aurait provoqué son comportement inhabituel. L’étoile Arcturus semble gouverner les relations du soleil avec la galaxie et la terre à l’intérieur du système solaire.

Note : On semble vouloir ignorer que le transit du soleil dans le cône des photons serait une des causes de l'accélération inattendue du réchauffement climatique, ainsi que des changements dans le système solaire. Nous verrons ce que 2024 nous offre. Dans tous les cas, ces grands changements énergétiques devraient complètement changer la vie sur Terre en raison de la rencontre entre le temps et l'espace et l'inversion probable du temps quantique intérieur et du temps linéaire extérieur.

Puis il y a l’étoile polaire, Polaris, aligné avec GRAU et le centre dans la Constellation de Pégase, que nous avons appelé Kalki ((nom du cheval initiatique, la licorne, forme symbolique de l'intelligence qui sort du troisième œil qui accompagne le retour de Krishna). C’est le centre de convergence de toute la sagesse ou intelligence des forces galactiques en direction du point oméga du Grand Attracteur.

Nous sommes conscient que nous avons levé seulement un petit bout de la toison de la lumière de vérité qui voile les possibles changements de l’axe de la terre en relation de la voute céleste. Tout est relié. La  terre est donc un certain reflet de l’évolution du ciel. Nous espérons que cela incite à de plus amples investigations qui complèteront et corrigeront nos investigations.

Merci Carmen Maymo :Video Drone Montserrat